mercredi 5 mars 2008

Dans la gueule du loup, toute seule

Après l'arrêt des pourparlers avec les FARC en février 2002, le gouvernement colombien veut reprendre la zone de 42 000 km² occupée par les guérilleros. Le 23 février 2002, le président Pastrana part en hélicoptère vers San Vicente del Caguán pour inspecter les forces armées de la région. Les autorités refusent à Íngrid Betancourt la possibilité de voyager par voie aérienne avec les journalistes qui accompagnent le chef de l’État. Alors en campagne présidentielle, elle décide de rejoindre San Vicente del Caguán par la route pour soutenir le maire, membre de son parti politique, et ce malgré les avertissements du gouvernement lui signalant la présence de guérilleros procédant à des barrages en certains endroits. Alors qu'une dernière barrière militaire empêche le convoi de continuer et que les militaires annoncent la présence des guérilleros quelques kilomètres plus loin, la candidate donne l’ordre à son conducteur de poursuivre sa route après avoir signé un document dans lequel elle se rend responsable de cette décision. Íngrid Betancourt et Clara Rojas passent plusieurs barrages des FARC jusqu'à ce qu'elles soient arrêtées à Paujil (Caquetá). (wikipedia.com)
Par la faute de l'irresponsable IB qui s'est livrée toute seule aux FARC, les bobos français en arriveraient à provoquer une guerre entre la Colombie et ses voisins communistes. Qu'on laisse les colombiens éradiquer définitivement ces terroristes mafieux. Ou alors que la France concède aux Farc un territoire en Guyane en échange de leur martyr colombienne...Plus que l'armée colombienne, c'est le boucan médiatique qui est responsable de la non-libération de la verdâtre IB.