Bulle à venir

Kervel restera un petit joueur... Nos banques occidentales ont prêté beaucoup d'argent à des fonds pour l'acquisition de sociétés (LBO). Les résultats, donc les dividendes, de ces sociétés risquant de faiblir ou même disparaître avec le ralentissement économique global, les banques craignent d'essuyer d'importants défauts de remboursement des prêts LBO accordés. Pour éviter cela, elles revendent actuellement leurs portefeuilles de prêts. A qui ? Mais, avec décôte, aux mêmes fonds à qui elles ont prêté. Comment ? Elles reprêtent aux mêmes dits fonds l'argent nécessaire pour le rachat des prêts... Cela va encore tanguer du côté des valeurs bancaires !