Médias discrédités

Syndicacats éteints, opposition embourgeoisée sans idées, seuls nos journaleux gochos ont entrepris une croisade vénéneuse pour fêter un an de présidence Sarko. Désinformations, outrages, caricatures, déformations, exagérations, mauvaise foi, parti pris, tout y passe dans l'audiovisuel public tatoué PS et la presse marxiste : la Pravda à côté paraîtrait même une BD. Certes, beaucoup plus de courage et d'intelligence n'auraient pas fait de mal à Sarkococo pour entamer les vraies réformes, surtout après 25 ans de socialisme néfaste. Mais il n'est pas resté inactif comme ses prédécesseurs et son impopularité -largement exagérée par les médias hystériques- est étrangère à la grande soif de réformes radicales qu'appelle la majorité des français sensés, les autres étant condamnés à ruminer leurs vieilles lunes gochos utopiques ou dogmatiques. N'en déplaise à nos désinformateurs lobotomisateurs de gogos, l'essentiel de la déception populaire vient surtout de la timidité des réformes entamées. Par leurs outrages récurrents, nos médias se discréditent très sérieusement et pour longtemps. Les journaleux n'ont pas fini de pointer à l'anpe et ce sera bien fait pour eux. Donc, le big bang reste attendu avec impatience...