La cérémonie d'ouverture des JO de Pékin a révélé à 4 milliards de téléspectateurs dans le monde l'image que la Chine souhaite désormais projeter d'elle-même : celle d'une grande nation ayant renoué avec sa puissance d'antan, une civilisation pour laquelle la révolution maoïste n'aura été qu'une étape. Une parenthèse aujourd'hui gommée de souffrance de trois générations de Chinois depuis un demi-siècle de communisme. Dans la saga de légendes et de dynasties présentées, il n'en manquait qu'une : celle des fondateurs du régime actuel. Oncle Marx, à la poubelle. Et Mao, aux oubliettes. Pas un tableau sur les personnages tutélaires de la Chine nouvelle ! Message éclatant une fois encore : la Chine se recentre sur elle-même, en se ressourçant dans son passé, c'est-à-dire en puisant sa force dans son expérience ancestrale. En s'interrogeant sur elle-même, elle s'apprête à porter un regard neuf sur l'Occident et le capitalisme. L'Occident doit donc se préparer à recevoir des leçons de la Chine. (lefigaro du 11-8)
Encore un pays ex-ami o!u notre sénateur totalitariste socialo MélencHonte ne va plus pouvoir aller. Son pré-carré coco pur se rétrécit et bientôt seule la France coco lui sera fréquentable. Pauvres de nous.