France maso

Si les funestes 35 heures socialos étaient une si bonne idée pour combattre le chômage, on s'étonne encore (1) que d'autres pays atteints du même mal n'aient pas suivi le bel exemple français (l'Allemagne avait pris un peu d'avance il est vrai mais a vite fait marche arrière sous l'impulsion du courageux et lucide socialo Schroder), (2) que nous n'ayions pas poursuivi la logique en allant vers les 28 heures ou les 21 heures, les effets sur le chômage n'étant pas si évidents avec les 35 h ! Si le communisme était une si bonne affaire, on s'étonne que tant de peuples qui le subissent depuis des lustres s'échinent à s'en dépétrer, avec souvent un coût humain important pour échapper à ce totalitarisme fou, alors que peu de pays autre que la France font le chemin inverse. Malgré toutes ces évidences, il se trouve une grande partie des français -pas si minoritaire que cela- qui se laisse séduire par ces lubies gochos, ces utopies du siècle passé. Recherche d'une bonne conscience pour pas cher, fruit d'une lobotomisation efficace par les médias, hypernombrilisme au point de ne pas observer ce qui se passe ailleurs, crasse ignorance des matières économiques, réel désir de glander et de profiter de la niaise générosité du système ? Nombreuses doivent être les raisons qui poussent les français à refuser ce qui marche ailleurs pour se réfugier vers tout ce qui échoue autre part.